A l’occasion de l’exposition dédiée au Velvet Underground qui occupera la Philarmonie de Paris jusqu’au 21 août, portrait rêvé de la seule femme du groupe, Nico (1938-1988), muse inspirée et inspirante, du cinéma de Fellini et de Philippe Garrel aux chansons des Doors et aux pages de Vogue.

The Thing, s’il ne devait y en avoir qu’une ?
Mon harmonium. C’est grâce à lui que j’ai pu créer la musique dont je rêvais. Je me le suis fait voler, une fois, à Paris, Patti Smith m’en a racheté un le lendemain. Je ne peux pas vivre sans lui.

The Place, s’il ne devait y en avoir qu’une ?
Ibiza, pour son alliance de calme et d’énergie, de paix et de folie terrestre. J’arrive à m’y reposer vraiment.

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