On croyait avoir tout vu de l’icône la plus glamour du cinéma hollywoodien. Et pourtant, celle qu’on ne nomme plus que par son prénom conserve toujours une part de mystère, dévoilée prochainement dans une exposition de clichés issus de collections privées, qui précisent un peu plus le rapport ambivalent que Marilyn entretenait avec l’objectif. L’occasion d’un entretien rêvé avec une Blonde décidément inoxydable.

The Thing, s’il ne devait y en avoir qu’une ?

Mon blond clair. Depuis le moment où il est apparu en 1946. Même si je n’étais pas encore connue, j’ai cessé d’être Norma Jean pour devenir celle que je voulais être.

 

The Place, s’il ne devait y en avoir qu’une ?

Peut-être Los Angeles, où je suis née et où j’ai construit ma carrière…Mais en fait ce serait New York, où j’ai pu me révéler en apprenant beaucoup, notamment au théâtre avec Lee Strasberg, et en y rencontrant ceux qui ont le plus compté pour moi.

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